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le mieux équilibré des trois[1]. Pour qui juge équitablement, c’est encore lui qui est sorti[2] de cette aventure le moins diminué.

    lettres de G. Sand à Sainte-Beuve ; la Revue de Paris en a donné, de son côté, un bon nombre. Mme Lardin de Musset a communiqué plusieurs lettres de son frère à M. Maurice Clouard (Revue de Paris), puis à M. Paul Mariéton, qui les a reproduites dans son ouvrage. Enfin, nous avons eu les lettres de G. Sand à Musset, dont la publication avait été confiée aux soins de M. Aucante (Revue de Paris, 1896) ; les lettres de G. Sand à l’abbé Rochet (Nouvelle Revue, 1896) ; les lettres de Musset à G. Sand, publiées par M. Decori (1904), et dont les originaux sont à la Bibliothèque nationale (Nouv. acq. fs.)

  1. Cf. un article de F. Sarcey, dans la Revue hebdomadaire, du 5 mars 1898.
  2. Le Dr Pietro Pagello est mort à Bellune, le 24 février 1898, âgé de 91 ans.