pas des civils qui ont été blessés à cet endroit là ?
R. Je ne sais pas.
Q. Dites-vous que vous ne savez pas ou que vous ne croyez pas ?
R. Je ne sais pas.
Q. La blessure qui a été faite à M. Blouin, le blessé dont on a amputé la jambe, est-ce qu’elle a été faite avec une balle ordinaire ou si c’était une balle soft nose comme on a parlé dans l’enquête ?
R. Je n’ai aucune expérience sur les blessures par les armes à feu ni les soft nose ni les balles ordinaires. J’ai constaté que c’était une blessure très considérable.
Q. Vous avez constaté que le dégat était très considérable ?
R. Le dégat était très considérable.
Q. Maintenant est-ce que vous étiez en charge du corps qui devait prendre soin des blessés ? qui avait une organisation pour prendre soin des blessés ?
R. J’agissais conjointement avec le Capitaine Tessé à la bâtisse du Merger à St. Roch, et moi j’étais attaché comme médecin militaire avec le bataillon d’Ontario et nous avions avec nous quatre ambulanciers.
Q. Vous aviez avec vous quatre ambulanciers ?
R. Oui.
Q. Ces ambulanciers étaient où ?
R. Au Merger. Pas tout le temps, parce qu’on