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À mes amis de La Ferrière


je dédie ce livre


en souvenir des courses que nous avons faites dans la belle et romantique vallée du Doubs. Ce n’est ni une étude de mœurs ni un roman historique, Seulement il m’a paru très vraisemblable que, dans ce cadre grandiose, au milieu de cette immense solitude où l’on ne voit que des habitations clairsemées et de rares visiteurs, il a dû se passer une fois ou l’autre et en des temps plus ou moins reculés, des scènes comme celles que je vais vous conter. Prenez donc cet ouvrage tel que je vous le donne et conservez-moi, quelle que soit l’impression que vous en laissera la lecture, votre bonne et franche amitié.

Novembre 1891.

P. CÉSAR.