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L’homme naît seul, meurt seul, reçoit seul la récompense de ses bonnes œuvres, et seul la punition de ses méfaits.

Abandonnant le corps mort à la terre, comme un morceau de bois ou une motte d’argile, les parents de l’homme détournent la tête et s’en vont ; mais la justice le suit.

Qu’il augmente donc sans cesse peu à peu sa justice, pour ne pas s’en aller seul ; car, escorté par la justice, l’homme franchit les infranchissables ténèbres.

L’homme qui, préférant à tout la justice, a détruit le péché par la pénitence, bientôt, brillant de lumière et revêtu d’un corps glorieux, est porté dans le monde céleste.