et céleste, la Divinité Première, sans naissance ; le Seigneur.
13. C’est ce que confessent tous les Rishis, le Dêvarshi Nârada, Asita, Dêvala, Vyâsa. C’est aussi ce que tu m’annonces.
14. Je crois, ô guerrier chevelu, en la vérité de ta parole ; car ni les dieux, ni les Dânavas ne savent comment tu te rends visible ;
15. Toi seul, tu te connais toi-même, ô Esprit suprême, Être des êtres, Prince des vivants, Dieu des dieux, Seigneur des créatures.
16. Veuille me dire sans réticences les vertus célestes par lesquelles tu maintiens ces mondes en les pénétrant.
17. Dis moi, Yôgî, comment, Uni à toi par la pensée, je pourrai te connaître ; dans quelles parties de ton essence, ô Bienheureux, tu me seras intelligible.
18. Raconte moi longuement ton Union mystique et ta vertu suprême, ô vainqueur des hommes. Ta parole est pour mon oreille une ambroisie dont je ne puis me rassasier. »