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��^yfîî^cH st'andila n. espace aplani et carré préparé pour un sacrifice. || Limite, frontière.
st'dntjilaçchjin m. {ci) ascète qui couche par pénitence sur un st'audila.
st'nn(liltisilaka n. autel.
^^I'JÎH st'apaii a. le meilleur, le princi- pal, le chef. — S. m. roi, chef. || Garde de f^ynécée. |I Architecte; charpentier; carros- sier ; cocher. !| Homme otîrant un sacrifice à Vrihaspati. || Kuvèra.
^yfj(> st'apula a. difficile à courber; ||
au lig. (lui vit dans la détresse.
- ^^ M s t'ai, st'ahhni 1 ; etc. Se tenir
debout, cf. st'd..
TW^ st'ala n., st'ali f. lieu, place; sol, terre ferme. — N. et f. a, terrain préparé, lieu sec, emplacement élevé. — N. tente, pavillon de toile. || Fr. stalle.
st'alapadma n. hibiscus mutabilis.
st'alapadminî f. mms.
st'alamanjari f. achyranthes aspera.
st'alaçpgdta m. tribulus laineux, bot.
st'alasîma7i m. borne, hmite.
stalidêvald f. esp. de divinité champêtre.
stalêçaya m. {çî) animal amphibie, en gén.
t^ |G| sfavi m. tisserand.
<F^n^rT s f aviva a. {st'u pour^^'a; sfx.
ra) ferme, stable. || Vieux, âgé; || véné- rable, Bd. — s. m. un vieillard; || un Véné- rable [titre honorifique dans la hiérarchie buddhique]. || Brahmâ. --> Fk4c<|6|H st'avîyas, st'avisfa, comp. et
sup. de st'ûla.
- T^ •^^'«. tisfâmi, tisfêi; p. tast'a),
tasCê] fl. stdtdsmi; f2. st'dsydmi, st'dsyê; a 2. asfdni, astisi; o. st'êyâsam, st'dsîya. V»,st'iyatê impers. ; pp. st'ila. Se tenir de- bout, pâdcna sur un pied, st'ânur iva comme un pieu. Il Se tenir immobile : triçaykum abravit lis fa lis fa iti, il dit à Triçanku : sois immobile. || Tenir ferme, ne pa°s fuir, ranê au combat. || Rester, demeurer, gfhê à la maison, rdjyê sur le trône [m à m. dans la royauté], akarmakrt sans rien faire. || Persister, durer, ydvad gancla iisfati tout le temps que dure une odeur. |I Etre pré- sent. Il S'appuyer sur, au fig. yasmin viç- wâni Uuvandni tas fus sur qui reposèrent tous les mondes , Iwayi nas tisfatô pritis notre ioie repose en toi. || Se prostituer à, d. Il Gr. tTTïîfxt; zd. histdmi; lat. stare, sistere; lith. stowmi; etc.
��^F^rPfiï st'dnu a. (sfx. nu) immobile,
stable, fixe. — S. m. pieu, poteau, [1 jave- lot. Il nid de fourmis blanches. ||Çiva. ~ S. m. n. tronc d'arbre sans branches.
^OTHI^T^ st'dndila m. ascète qui dort sur un st'andila ; || religieux mendiant.
T^IH^îT st'dlavya mms. que st'êya.
T^in st'dria n. (sfx. ana) action de se tenir debout, de s'arrêter, halte. || Point où l'on se tient, place, lieu, site, station: || maison, demeure; || place publique; || sec- tion d'un livre; || les degrés d'acuité ou de gravité de la voix : trini sl'ândni la basse, le médium et la haute; || l'organe c. à d. la partie de l'organe vocal où s'articule une lettre, tg. || Au 1. st'ânô au lieu de, à la place de. [| Gr. aOé-joç, cf. st'dman.
sfdnaka n. ville. || Bassin d'arrosage au pied d'un arbre. || Bulle ou chapelet [sur un verre de vin ou d'une autre liqueurj.
st'ânacancald f. ocymum pilosum, bot.
st'dnapdla m. garde de ville, patrouille.
st'dnâdyaxa m. [adyaxa) chef d'un poste, gouverneur d'une place.
st'ânâst'âna a. (apriv.) stable et instable.
st'ânika a. local. — S. m. gouverneur d'une place, d'un district.
st'ânin di. qui a une place fixe; perma- nent.
st'âniya a. local, fait pour une certaine place. — S. n. ville.
^F^FTr^ st'dpatyam. gardien de harem.
^&[(t|i||TÎT si'dpayâmi, st'âpayê (c. de st'd); pqp. atisfipam. Mettre debout; met- tre en place. ||" Arrêter, rat'am un char. || Fonder, étabhr. || Faire que qqc. soit : ta pulrikâs st'dpaydmdsa il ht d'elles ses filles. Il Pp. st'dpita fixé, étabh en un lieu, fondé; assuré, certain, réglé. || Gér. sfdpayilwâ en laissant de côté, en omettant, hormis, Bd.
st'âpaka a. qui place, qui fixe. — S. m. fondateur, érecteur [d'un édifice, etc.]. || Directeur de théâtre.
st'âpana n. action do mettre debout, de mettre en place, d'ériger, d'organiser. || Maison, étabUssement. || Abstraction men- tale. — F. [i] direction de théâtre. |1 Gis- sampelos hexandra, bot.
^^igfTT^ st'dman n. (sfx. man) force, •s pouvoir.
^ErrfïT^ st'âijin a. (sfx. in\ y euph )
fixe, constant, permanent, durable.
st'dylBâva m. propriété ou effet particu- lier de l'amour [il y en a 8 : affection, joie, tristesse, héroïsme, colère, peur, aversion, étonnement].
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