cile avec une gaieté affectée ; je pensais seulement que… N’avez-vous pas dit que vous connaissiez tous ses parents ? Non, répondit-il ; mais pendant que je me trouvais avec M. Belfield, plusieurs sont venus le voir.
Ils gardèrent de nouveau le silence ; et Cécile, honteuse de sa répugnance apparente à louer, fit un effort pour dire : mademoiselle Belfield est réellement une charmante personne, et je souhaiterais… Elle s’arrêta, ne sachant trop elle-même ce qu’elle avait voulu ajouter. J’ai été très-satisfait, dit-il, en apprenant les bontés que vous aviez eues pour elle ; il me semble qu’elle en a autant besoin qu’elle paraît les mériter. Je suis persuadé que lorsqu’elle n’aura plus son frère, vous ne refuserez pas de les lui continuer ; ce sera alors le temps où, en lui faisant le plus de bien, il vous en reviendra le plus d’honneur.
Cécile, confondue de cette recommandation, lui répondit faiblement : certainement… tout ce qui dépendra de moi…