nière plus étendue ; mais que l’on observe qu’il existe, là-dessus plusieurs traités excellens. Je ne me suis point proposé de porter la critique sur le sublime et le beau d’aucun art en particulier, mais d’établir des principes propres à distinguer, à former et à certifier une espèce de modèle pour ces idées. J’ai pensé que le plus sûr moyen d’atteindre ce but, était de rechercher les propriétés des choses naturelles qui font naître en nous l’amour et l’étonnement, et de montrer de quelle manière elles agissent pour produire ces passions. Les mots ne devaient être considérés que pour découvrir sur quel principe ils peuvent représenter ces choses naturelles, et d’où leur vient le pouvoir de nous affecter avec autant, et quelquefois avec plus de force encore, que les choses qu’ils représentent.