dans un dédale ; elle arrive à mon cœur en dénouant tous les liens qui captivent l’ame secrète de l’harmonie [1] »
Faisons le parallèle de ce passage avec la douceur, la surface ondoyante, la continuité non-brisée, la gradation facile du beau dans les autres choses ; et toutes les diversités des différens sens, avec toutes leurs affections diverses, se prêteront mutuellement des lumières propres à donner une idée claire, finie et cohérente du tout, loin de l’obscurcir par leur variété et leur complication.
J’ajouterai une ou deux remarques à la description que je viens de rapporter. La première est que le beau musical ne comporte pas cet éclat et cette force de sons qu’on peut employer pour exciter d’autres passions ; il fuit également les tons aigres, perçans ou sourds,
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— And ever against eating cares,
Lap me in soft lydian airs
In notes with many a winding bout
Of linked sweetnoss long drawn out
With wanton head and giddy cunning
The melting voice through mazes running
Untwisting ail the chains that tie
The hidden soul of harmony.