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tant à mes yeux rien que de bien innocent, me plongea dans une rêverie mélancolique.

J’ai pour principe de fuir le chagrin même en imagination, toutes les fois que je le puis ; aussi fis-je en sorte de changer la direction de mes pensées ; pour cela je m’amusai à me figurer l’effet que devait produire sur les épaules débiles de mon vieux camarade le double fardeau de la dignité cléricale et du mariage.