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Glanville prononça ces mots avec une énergie sauvage ; il se tut pendant une minute, puis reprit d’une voix altérée :

« Mon cher Pelham, ne cédez jamais à la tentation trompeuse de vous faire imprimer ; car dès ce jour on vous regarderait comme une propriété publique, et le dernier animal d’Exeter-Change aurait plus de liberté que vous. Mais nous voici chez Mivart. Adieu. Je passerai chez vous demain matin, si l’état pitoyable de ma santé me le permet. »

Là-dessus nous nous séparâmes.