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beaucoup de philosophes terrestres ont soupçonnée et dont Faraday parle sous le nom plus réservé de corrélation.

« Je suis depuis longtemps d’avis, » dit cet illustre expérimentateur, « et mon opinion est devenue presque une conviction commune, je crois, avec beaucoup d’autres amis des sciences naturelles, que les formes variées sous lesquelles les forces de la matière nous sont manifestées ont une commune origine ; ou, en d’autres termes, qu’elles sont en corrélation directe et dans une dépendance mutuelle, de sorte qu’elles sont pour ainsi dire convertibles les unes dans les autres, et que leur action peut être ramenée à une commune mesure, à un équivalent commun. »

Les philosophes souterrains affirment que par l’effet du vril, que Faraday appellerait peut-être le magnétisme atmosphérique, ils ont une influence sur les variations de la température, ou, en langage vulgaire, sur le temps ; que par d’autres effets, voisins de ceux qu’on attribue au mesmérisme, à l’électro-biologie, à la force odique, etc., mais appliqués scientifiquement