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XXVII.


Un jour, pendant que jetais seul à rêver tristement dans ma chambre, Taë entra par la fenêtre et vint s’asseoir près de moi. J’étais toujours heureux des visites de cet enfant, dans la société duquel je me sentais moins humilié que dans celle des Ana, dont les études étaient plus complètes et l’intelligence plus mûre. Comme on me permettait de sortir avec lui et que je désirais revoir l’endroit par lequel j’étais descendu dans le monde souterrain, je me hâtai de lui demander s’il avait le temps de m’accompagner dans une promenade à la campagne. Sa physionomie me parut plus sérieuse que de coutume, quand il me répondit : —

— Je suis venu vous chercher.