Page:Bulwer-Lytton - La Race future, 1888.djvu/258

Cette page a été validée par deux contributeurs.


XXIV.


En descendant du bateau aérien, Aph-Lin fut abordé dans le vestibule par un enfant qui venait le prier d’assister aux obsèques d’un ami qui avait depuis peu quitté ce bas monde.

Je n’avais jamais vu aucun cimetière dans le pays et, heureux de saisir même cette triste occasion d’éviter un entretien avec Zee, je demandai à Aph-Lin s’il me serait permis d’assister à l’enterrement de son parent, à moins que cette cérémonie ne fût regardée comme trop sacrée pour qu’on y admît un être d’une race différente.

— Le départ d’un An pour un monde meilleur, me répondit mon hôte, — alors que, comme mon parent, il a vécu assez longtemps dans celui-ci pour n’y plus goûter de plaisir, est