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XIX.


Pour retourner à la ville, Taë me fit prendre un chemin plus long que celui que nous avions pris en venant ; il voulait me montrer ce que j’appellerai familièrement la Station d’où partent les émigrants et les voyageurs qui se rendent chez une autre tribu. J’avais déjà exprimé le désir de voir les véhicules des Vril-ya. Je vis qu’ils étaient de deux sortes, les uns pour les voyages par terre, les autres pour les voyages aériens : les premiers étaient de toutes tailles et de toutes formes, quelques-uns n’étaient pas plus grands qu’une de nos voitures ordinaires, d’autres étaient de véritables maisons mobiles à un étage et contenant plusieurs chambres meublées suivant les idées de confort et de luxe