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XV.


Malgré la bonté de tous mes hôtes, la fille d’Aph-Lin se montrait encore plus délicate et plus prévoyante que les autres dans ses attentions pour moi. Sur son conseil, je quittai les vêtements sous lesquels j’étais descendu du monde supérieur et j’adoptai le costume des Vril-ya, à l’exception des ailes mécaniques, qui leur servaient comme d’un gracieux manteau quand ils marchaient. Mais comme à la ville beaucoup de Vril-ya ne portaient pas ces ailes, cette exception ne créait pas une différence marquée entre moi et la race au milieu de laquelle je séjournais, et je pus ainsi visiter la cité sans exciter une curiosité désagréable. Hors de la famille, personne ne savait que je venais du