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lérable pour les êtres organisés comme ceux que connaissaient les Vril-ya ; mais leurs savants croyaient que, même là, la vie existait sous une forme quelconque ; que si l’on y pouvait pénétrer, on y trouverait des êtres doués de sensibilité et d’intelligence.

— Là où le Tout-Puissant bâtit, — disait-elle, — soyez sûr qu’il place des habitants. Il n’aime pas les maisons vides.

Elle ajoutait cependant que beaucoup de changements dans la température et le climat avaient été produits par la science des Vril-ya, et que les forces du vril avaient été employées avec succès dans ce sens. Elle me décrivit un milieu subtil et vital qu’elle appelait Lai, que je soupçonne devoir être identique avec l’oxygène éthéré du docteur Lewins, et dans lequel agissent les forces réunies sous le nom de vril ; elle affirmait que, partout où ce milieu pouvait s’étendre de façon à donner aux différentes propriétés du vril toute leur énergie, on pourrait s’assurer d’une température favorable aux formes les plus élevées de la vie. Zee me dit aussi que, d’après les naturalistes de son pays, les