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d’une température convenable à la vie organique, cependant les ravins et les vallées de cet empire étaient beaucoup moins chauds que les savants ne le supposeraient, eu égard à leur profondeur ; ils n’étaient certainement pas d’une température plus élevée que le midi de la France ou que l’Italie. Et suivant tous les renseignements que je pus recueillir, de vastes districts, s’enfonçant à des profondeurs où j’aurais cru que les salamandres seules pouvaient vivre, étaient habités par des races innombrables organisées comme nous le sommes. Je ne puis prétendre à donner la raison d’un fait si en contradiction avec les lois reconnues de la science et Zee ne pouvait m’aider beaucoup à trouver la solution de cette difficulté. Elle supposait seulement que nos savants n’avaient pas assez tenu compte de l’extrême porosité de l’intérieur de la terre, de l’immensité des cavités qu’elle renferme et qui créent des courants d’air et des vents fréquents, des différentes façons dont la chaleur s’évapore, ou est rejetée à l’extérieur. Elle convenait cependant qu’il existait des profondeurs où la chaleur était regardée comme into-