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II.

Le Forgeron.

Le jour et même la nuit, Le Cyclope bat Penclume : La Sicile- en retentit. Toujours Pardent fourneau faune, biais le monstre cède enfin ; Quelquefois il fait relâche, Et le sommeil ou la faim Lu-i font déserte ; sa tâche. J’ai nlaintenanl : pour Voisin Un forgeron plus étrange : Son travail 1’121 pas de fin ; Ilhommo ne dort, ni ne mange ; Les retentissants nmrteaux Jour et nuit sont sans repos : Et partant, nùsère extrême ! Toussses voisins sont de même. Mon Dieu ! que je voudrais bien, Faut devient grande ma gêne !

Il. — Ad inquietmn fabrunz.

Cyclopun} Liparis memoratur habere tabernas, Quos labor excreot nocte dicque gravis ; w Sic tamen ut copiant partem somnique cibique,

"Et recreet fessas tantula pausa menus.

Te, fugiende faber, nec opus, net ; flamma fatigat, QllOmÎnuS incudenn fervida massa premat. Nulla tiubi requies, nullanævicinia sentit, Cum tous infestet proxima quæque Iabor.