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Œuvre (le-grâce ou de nature ! V’ ’, À peine avais-je ainsi changé s Etile mœurs et de nourriture, ’ p ’ l Que je me sentis soulagé. p ’ , Pour 11101, quel immense avantage !

Puisqu’au joi1rcl’hui je puis venir, Délivrant mon fils, mont otage,

l’rendre sa place pour mourir !

Je irai point la rançon promise,

Ayant fait vœu de pauvreté. Œïaitez-moi donc à. votre guise ;

Ou pardonnez avec bonté,

Ou que mon trépas soit hâte,

Si je dois périr zil me tarde

D’en finir. n —‘- r : Que le ciel me garde De mettre encor la. main sur vous." Combien je regrette les coups

Que vous porta ce bras rapide ! Pardonnez à mon humble aveu/i

C’est être deux fois homicide

De frapper un homme de Dieu.

Votre fils est libre, et vous, Père : ’ Allez en paix‘. n — C’est le pasteur

Qui fit ce discours dehomaairc.

Denique persuasif penitus contemnere mumliiiii, p "

Et mihi sic rase tradidit huile habifuizi. Ut veteres mores alimenta que prisca reliqui, Qui fileram langueus, illico convalui. Nunc quia (lchebâtimeus obses perdere vitqm, Ne pereat imtus, poncre quæro meam. Hue rcdiens, sieut me iproposui rediturum, Quoi ! tibi restituas, nil hubeo proprium. Fallere nolo fidem, si vis mihi pgtreere, parce.‘ Si placet ut peream, me citius perime. Hæe mea, pastor, ait, te lærlel : ilextera uimquam ;