Maintenant, si nous CÜDS’l-ÏE[{’ !“FÛÜS cette (ÏÎËPPOSÎÊÏJOH et =qîue tious nous’rappelions Pépoqsue de -la formation de l’a paroisse de Saint-Sulpi-ce, -qui.n’a pas -dû précéder (le plus dîme quarantaine (Fennecs celle de Saint-Léonard, nous serons ramenés
aux mêmes déductions en ce qui la eoucerîne, et conclure,
qu’lav-ant de constituer tune ; paroisse, seu =territoire a dû égale-
« ment appartenir a une autre paroisse, laquelle nîa puwêlre
que celle çle LïEseottsse. Cette ËÜDGIÜSÎOHyIÇÎÏI reste ; se trottve pleine menti "confirmée par une charte d’Étiee.n’ne, évêque de
Rennes, de M69, qui aeté publiée parmi les chartes du prieuré de la Trinité, dan-s le troisième volume du bulletin rlefflbëlssocitttioaz Bretonne, p. 236.
ÉLersque "l’église de IJEscousse fut donnée Palibaye (le
v Pont-le-Yoy, la paroisse de Saint-"Sul-piee était fondée, et les
religieux eurent prendre les choses dans liétat- où "elles se trottaient. Aussi ne VOyOnS-‘HGUS pas q»u’ils aient jamais songé à tliSput-Gl’la possession de cette paroisse auxrreli.gicu—x de lilarmouiiers, qui la tenaient des Raoul, seigneur de Fougères,
GIÏPÀÜÉÏËIÏIÂG, sa mère ; a Mais, plus tard, la paroisse ayant pris des tlétvelopitements, la. qIIBSl-ÎOI ! des limites devint un sujet de litige entre les deux
abbayes, qui la soumirent ä l’arbitrage de l’évêque de Rennes. Le prjëlat, allures favoir pris connaissance de l’affaire, lirxa
les limites des (leu-i : «paroisses. telles qu’elles ont subsisté jusquïa l’ordonnance royale (191833) qui les a modifiées, et
régla tous les points sur lesquels les parties n’étaient pas,
d’action].
q Parmi les dispositions de ison règlement, il en est une qui, i1, ntesyeux, tranche (Tune manière péremptoire la question
qui IIOUSOBCUPG-Après’avoirfait lapart de chacune (les dettx paroisses dans le territoire en litige, elle sépare, en ce qui conôerne la pot’-
tion attribuée à Saint-Saillant), la jtrritliction spirituelle (les ’