sion qu’il lui avait confiée, et h déclarer qu’il n’avait agi que dbprès son exprès et forrpel commandement.
Lesligueurs consentirent dès lors a île traiter conformément auxrloîs de la gilerre, et l’enfermer«ent au ohàteaude
Fougère-s, où ils le détinrent prisonnier jusqu’au mois (Parril,
1593, qu’ils lui rendirent la liberté moyennant une rançon de 11,000 écus. (D. Mon, P-r. III, col. 1558, 1561.) La terre du Bois-Février fut vendue rationnement à
l’époque de la Révolution et rachetée plus tard par 1M. de‘
Vaujnas, qui avait pensé l’héritière de la maison de L-angan ; elle appartient aujourd’hui à le-ur petit-fils, id. le vicomte
Christian Le Bouteiller.
L’a terre du Bois — Fourier" était composée ainsi qu’il suit :
Douniun PROCHE. — 1o Le château, la métairie et le moulin de Février ; 2o les métairies de la Gttiberäiêre et de la J’eus.-
« soya ; 3o la terre et seigneurie dé Fourgon, sur laquelle exista-à une ancienne motte, contenant environ 500 journaux (1) ;
44o la fterïre de iîlontbrault. (Cette terre, unie au Bois-Février
vers 1650, appartenait "antérieurement à la famille du Hallay. {n’avoir pour la réformation constate qu’elle possédait autrefois un ancien château, clos de fossés, murailles. et pont-levis, 1680.) 5o La métairie noble dzgfizut-Montlaraud. 7 Mouvaucns. — En Fleurigné :. les fiefs de. La Piehonnerie, 60 journaux ; de La Ilîartirtière, 100 journaux ; de PÉpine, 460 journaux ; du Bois-Gaucher, 60 journauxçde La Gam-borire et de Jehaztnay, 2920 journaux ; le grand fret de Illumbra-ud, d’où dépendaient les fiefs de Centaine et de La Gambrètière, 160 journaux ; les fiefs de La Petite-Bue‘, de La Coetfordièreet de La Galaiserie. 140 journaux.
(i) On trouve en 1102 un seigneur de Fourgon, Robert de Fourgon. (Doni Mor., Pr. I, col. 656L) i