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de roches ; le géologue voyageur n’aura pour décrire un pays de terrain primitif, qu’à signaler exactement celles de ces roches qui s’y rencontrent et les circonstances qui les y accompagnent ; Ainsi avec beaucoup moins de recherches de la part du voyageur, la contrée sera tout aussi bien connue par cette description, qu’elle peut l’être, lorsque, pour y reconnaître telle ou telle de ces formations, à mon avis, arbitraires, le géologue aura peut-être supprimé quelques faits, en aura exagéré quelqu’autre, et aura toujours perdu beaucoup de temps, sans être jamais bien satisfait.



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