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En 1777-78, une dame Belval (utilités et 2e duègne), à Bordeaux (Mss. Lecouvreur)
Un chef de troupe signalé à Saint-Omer et Calais pendant l’été de 1781, à Boulogne-sur-Mer le 28 octobre 1787 (Arch. Mun. Amiens, FF 1314), à Abbeville, le )~ décembre suivant (Mém. Soc. Em~. Abbeville, 1901, p. 75), à Besançon, le 2 juin 1788 (Alphonse Deis. &qut’Me historique sur la création du théâtre de Besançon, p. 27). Enfin Henri Lyonnet signale dans son Dictionnaire des Comédiens, outre l’acteur messin, trois autres Belval au théâtre Louvois en 1792, au théâtre Molière, à Bordeaux en 1793, à l’Ambigu, en 799. Peut-être ces trois-là n’en font-ils qu’un, mais ils ne sauraient en tous cas être identifiés ni avec Jean-Baptiste Belleval de Montignac, ni avec son fils illégitime, né à Nancy, le 2 juillet 775, comme nous l’apprend M. Barbé, et devenu soumeur du théâtre de Metz pendant la Révolution. Il y a là toute une série de parentés ou d’homonymies qu’il serait intéressant de débrouiller.
CORRESPONDANCE
CHANGEMENT D’ADRESSE. Le secrétaire prie instamment ses confrères de lui adresser toute correspondance, à partir du 15 octobre prochain, à son nouveau domicite 26, rue de Staël, Paris (XVe). A Monsieur de Pas, secrétaire général de la Société des Antiquaires de la Morinie.
Vous m’avez fait, Monsieur, le grand honneur de vous intéresser et d’intéresser aussi la Société des Antiquaires de la Morinie à mes recherches, et de les aider par la plus utile et la plus généreuse contribution. Que j’en éprouve comme une pointe d’orgueil, c’est là un sentiment trop humain pour que je m’en défende mais ce m’est un bonheur aussi de voir une conversation publique, pour ainsi dire, s’engager à distance entre gens qui comprennent l’importance de la vie théâtrale dans l’histoire de notre culture et de nos moeurs. C’est dans cet esprit de
