Page:Buffon - Œuvres complètes, éd. Lanessan, 1884, tome II, partie 2.pdf/130

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

dentes (art. XXXIX) ; on aura, en ajoutant ces temps, 62 à 53 pour le rapport encore précis de l’entier refroidissement du verre et du plomb ;

3o Que le temps du refroidissement du verre est à celui du refroidissement de l’étain, au point de pouvoir les tenir : : 10 : 8 1/2 par la présente expérience, et : : 46 : 42 1/2 par les expériences précédentes (art. XXXIX) ; ainsi on aura, en ajoutant ces temps, 56 à 51 pour le rapport plus précis de leur premier refroidissement ; et pour le second, le rapport donné par la présente expérience étant : : 27 : 21, et par les expériences précédentes (art. XXXIX) : : 132 : 117, on aura, en ajoutant ces temps, 159 à 138 pour le rapport encore plus précis de l’entier refroidissement du verre et de l’étain ;

4o Que le temps du refroidissement du verre est à celui du refroidissement de la glaise, au point de pouvoir les tenir : : 10 : 7 1/2, et : : 38 : 31 1/2 par les expériences précédentes (art. LX) ; ainsi on aura, en ajoutant ces temps, 48 1/2 à 38 1/2 pour le rapport plus précis de leur premier refroidissement ; et pour le second, le rapport donné par la présente expérience étant : : 27 : 20, et : : 113 : 87 par les expériences précédentes (art. LX), on aura, en ajoutant ces temps, 140 à 107 pour le rapport encore plus précis de l’entier refroidissement du verre et de la glaise ;

5o Que le temps du refroidissement du verre est à celui du refroidissement de l’ocre, au point de pouvoir les tenir : : 10 : 5 par les présentes expériences, et : : 38 1/2 : 25 1/2 par les expériences précédentes (art. LX) ; ainsi on aura, en ajoutant ces temps, 48 1/2 à 30 1/2 pour le rapport plus précis de leur premier refroidissement ; et pour le second, le rapport donné par la présente expérience étant : : 27 : 16, et par les expériences précédentes (art. LX) : : 113 : 75, on aura, en ajoutant ces temps, 140 à 91 pour le rapport encore plus précis de l’entier refroidissement du verre et de l’ocre ;

6o Que le temps du refroidissement de la pierre dure est à celui du refroidissement du plomb, au point de pouvoir les tenir : : 10 1/2 : 9 1/2, et : : 29 : 23 pour leur entier refroidissement ;

7o Que le temps du refroidissement de la pierre dure est à celui du refroidissement de l’étain, au point de les tenir : : 10 1/2 : 8 1/2, et : : 29 : 21 pour leur entier refroidissement ;

8o Que le temps du refroidissement de la pierre dure est à celui du refroidissement de la glaise, au point de les tenir : : 10 1/2 : 7 1/2, et : : 29 : 20 pour leur entier refroidissement ;

9o Que le temps du refroidissement de la pierre dure est à celui du refroidissement de l’ocre, au point de les tenir : : 10 1/2 : 5, et : : 29 : 16 pour leur entier refroidissement ;

10o Que le temps du refroidissement du plomb est à celui du refroidissement de l’étain, au point de les tenir : : 9 1/2 : 8 1/2 par la présente expérience, et : : 36 1/2 : 31 1/2 par les expériences précédentes (art. XXXIX) ; ainsi on aura, en ajoutant ces temps, 46 à 40 pour le rapport plus précis de leur premier refroidissement ; et pour le second, le rapport donné par la présente expérience étant : : 23 : 21, et : : 109 : 89 par les expériences précédentes (art. XXXIX) ; on aura, en ajoutant ces temps, 132 à 110 pour le rapport encore plus précis de l’entier refroidissement du plomb et de l’étain ;

11o Que le temps du refroidissement du plomb est à celui du refroidissement de la glaise, au point de pouvoir les tenir : : 9 1/2 : 7 1/2 par la présente expérience, et : : 7 : 5 1/2 par les expériences précédentes (art. XXXV) ; ainsi on aura, en ajoutant ces temps, 16 1/2 à 13 pour le rapport plus précis de leur premier refroidissement ; et pour le second, le rapport donné par la présente expérience étant : : 23 : 20, et : : 18 : 15 par les expériences précédentes (art. XXXV) ; on aura, en ajoutant ces temps, 41 à 35 pour le rapport encore plus précis de l’entier refroidissement du plomb et de la glaise ;

12o Que le temps du refroidissement du plomb est à celui du refroidissement de l’ocre, au point de pouvoir les tenir : : 9 1/2 : 5 par la présente expérience, et : : 7 : 5 par les expériences précédentes (art. XXXV) ; ainsi on aura, en ajoutant ces temps, 16 1/2 à 10