précédentes (art. XXXIII) ; on aura, en ajoutant ces temps, 244 à 122 pour le rapport encore plus précis de l’entier refroidissement du grès et du gypse ;
10o Que le temps du refroidissement du plomb est à celui du refroidissement du gypse, au point de pouvoir les tenir : : 9 12 : 4 12, et : : 28 : 16 pour leur entier refroidissement.
LXIII. — Ayant fait chauffer ensemble les boulets de cuivre, d’antimoine, de marbre commun, de pierre calcaire tendre et de craie, ils se sont refroidis dans l’ordre suivant :
Refroidis à les tenir pendant une demi-seconde. | Refroidis à la température actuelle. | ||
Minutes. | Minutes. | ||
Craie, en | 12 6 | En | 20 |
Antimoine, en | 12 7 | En | 26 |
Pierre tendre, en | 12 7 | En | 26 |
Marbre commun, en | 11 12 | En | 31 |
Cuivre, en | 16 | En | 49 |
LXIV. — La même expérience répétée, les boulets se sont refroidis dans l’ordre suivant :
Refroidis à les tenir pendant une demi-seconde. | Refroidis à la température actuelle. | ||
Minutes. | Minutes. | ||
Craie, en | 12 5 | En | 18 |
Antimoine, en | 6 | En | 24 |
Pierre tendre, en | 8 | En | 23 |
Marbre commun, en | 10 | En | 29 |
Cuivre, en | 13 12 | En | 38 |
On peut conclure de ces deux expériences :
1o Que le temps du refroidissement du cuivre est à celui du refroidissement du marbre commun, au point de pouvoir les tenir : : 29 12 : 21 12 par les présentes expériences, et : : 45 : 35 12 par les expériences précédentes (art. V) ; ainsi on aura, en ajoutant ces temps, 74 12 à 57 pour le rapport plus précis de leur premier refroidissement ; et pour le second, le rapport donné par les présentes expériences étant : : 87 : 60, et : : 125 : 110 par les expériences précédentes (art. V) ; on aura, en ajoutant ces temps, 212 à 170 pour le rapport encore plus précis de l’entier refroidissement du cuivre et du marbre commun ;
2o Que le temps du refroidissement du cuivre est à celui du refroidissement de la pierre tendre, au point de pouvoir les tenir : : 29 12 : 15 12, et : : 87 : 49 pour leur entier refroidissement ;
3o Que le temps du refroidissement du cuivre est à celui du refroidissement de l’antimoine, au point de pouvoir les tenir : : 29 12 : 13 12 par les présentes expériences, et : : 28 : 16 par les expériences précédentes (art. XLI) ; ainsi on aura, en ajoutant ces temps, 57 12 à 29 12 pour le rapport plus précis de leur premier refroidissement ; et pour le second, le rapport donné par les expériences présentes étant : : 87 : 50, et : : 80 : 47 par les expériences précédentes (art. XLI) ; on aura, en ajoutant ces temps, 167 à 97 pour le rapport encore plus précis de l’entier refroidissement du cuivre et de l’antimoine ;
4o Que le temps du refroidissement du cuivre est à celui du refroidissement de la craie, au point de pouvoir les tenir : : 29 12 : 12, et : : 87 : 38 pour leur entier refroidissement ;