se dit guere » ; novatrice (Rac., IV, 391, P.-R.) ; les sectatrices de la Préciosité (Robinet, Panég. de l’E. des Fem., 1664, 4e entrée) ; A Madame Colbert, Ambassadrice à Nimégue (Bours., Lett. nouv., I, 37 ; cf. 84-86)¹.
1. Opératrice se trouve dans une énumération bouffonne : « Ce n’est pas pour me vanter, mais en cas de chanteurs, symphonistes, violistes, téorbistes, clavecinistes, opéra, opérateurs, opératrices, madelonistes, catinistes, margotistes, si difficiles qu’elles soient, j’ai tout cela dans ma manche » (Regn., La Sérén., sc. 7).
Ailleurs on se moque de autrice : Un Homme est un Autheur, une Femme est Autrice. Appelez-donc Madame Autrice, et non Autheur (de La Thuillerie, Crisp. bel Esprit, se. 10).
Ce mot était très commun dans Loret (cf. t. III, 279, note 2).