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coups d’ailes


Ainsi pariait un soir de mai, François d’Assise,
Avant de se coucher sur son rude grabat
Couvert d’un peu de paille et sans pièce de drap…

Et le calme régnait comme dans une église ;
Car les oiseaux du ciel, pour rester ses amis,
Avec le bon François s’étaient tous endormis.