L’été, par les chauds crépuscules,
A rencontrait Jules
Qu’était si caressant
Qu’a restait, la soirée entière,
Avec lui, près du vieux cim’tière,
Ru’ Saint-Vincent.
Mais le p’tit Jul’ était d’la tierce
Qui soutient la gerce,
Aussi, l’adolescent
Voyant qu’a n’marchait pas au pantre,
D’un coup d’surin lui troua 1’ ventre.
Ru’ Saint-Vincent.
Quand ils l’ont couché’ sous la planche,
Alle était tout’ blanche
Mêm’ qu’en l’ensev’lissant,
Les croqu’-morts disaient qu’la pauv’ gosse
Était claqué’ l’jour de sa noce.
Ru’ Saint-Vincent.