Les fortifs !… C’est aussi l’asile
Des vaincus, des aînés, des vieux
Qui, n’ayant mêm’ pus d’domicile,
Vienn’nt se coucher… là, sous les cieux…
Et, souvent, dans les nuits sereines,
Su’ l’talus, qui leur sert de pieu,
I’s rêv’nt que c’est la fin d’leurs peines
Et qu’i’s sont partis chez l’bon Dieu…