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Polyt’ c’est un copain à moi :
Un chouette, un zigard, un vieux frère,
Mais i’ chahut’ ma ménagère,
Et par moment, ça m’ fout un froid.

C’est pas qu’j’ay’ l’cœur à la tendresse.
Mais j’suis jaloux. Vous comprenez :
Ej’ veux pas qu’on r’trouss’ ma gonzesse,
V’là porquoi qu’j’ai Polyt’ dans l’nez.