effectue un parangonnage qui place la ou les lettres dans l’interligne ou les fait enjamber sur l’une et l’autre ligne :
triginta (annis) ; fili(a)e dul(cis)s(imae) pater.
b) Le texte principal de l’inscription ayant été rédigé et gravé avec un certain nombre de lacunes volontaires destinées à être comblées ultérieurement, l’emplacement primitivement réservé s’est trouvé insuffisant, et l’ouvrier a terminé son travail en adoptant la disposition qui lui paraissait la plus convenable : les termes nouveaux sont généralement placés dans les interlignes, et comme à cheval sur la ligne, disposition que le typographe reproduit aisément à l’aide de parangonnages :
c) Certaines lettres, telles que I, T, etc., débordent au delà de l’alignement régulier de l’œil des lettres, comme nous l’avons vu antérieurement (§ 11), ou sont renversées :
d) L’inscription présente des lacunes, soit parce que le texte n’a pas été gravé, soit parce que les mots martelés, et non remplacés, sont impossibles à restituer : ces lacunes sont figurées par des points :
Q · POMPEIO · Q · F · QVIR · SENECIONI
......................................
SOSIO · PRISCO · PONTIFICI · SODALI
HADRIANALI.