27. Dans les divers cas où le tiret remplace les noms à répéter en des lignes successives, il est d’usage dans nombre d’imprimeries, s’il y a des lignes doublantes, de découvrir tout le mot remplacé par le tiret, ainsi que la ponctuation et l’espace qui l’accompagnent, le cas échéant, plus 1 cadratin :
Garnier, seigneur de Froideville, de Menant, de Vierzois,
512.
Gauthier, comte de Brienne, en Champagne, 173, 179, 209,
276.
— abbé de Montiéramey, 280.
— fils d’Erard, comte de Brienne, 247.
Gédoine (Artus), chevalier, 315.
Ainsi qu’on l’a vu au paragraphe 30 du chapitre xxiii, Alignements[1], les auteurs ne sont pas d’accord sur ce point du découvert à observer : les uns exigent que le texte de la ligne doublante soit renfoncé de 1 cadratin seulement sur la justification (il ne peut y avoir, dès lors, emploi du tiret pour remplacer le terme initial de la ligne qui suit) ; les autres conseillent la disposition donnée en l’exemple de ce paragraphe et se bornent à renfoncer de 1 cadratin sur la justification seulement la ligne doublante du texte comportant le dernier tiret (voir ci-dessous).
28. On peut indifféremment, après le dernier tiret remplaçant, donner, à la ligne qui doublerait, la rentrée de 1 cadratin du sommaire ordinaire ou lui conserver l’alignement des autres lignes doublantes :
Garnier, seigneur de Froideville, de Menant, de Vierzois,
512.
Gauthier, comte de Brienne, en Champagne, 173, 179, 209,
276.
— abbé de Montiéramey, 280.
— fils d’Erard, comte de Brienne, en Champagne,
247, 276.
Gédoine (Artus), chevalier, 315.
Hennequinet (Alexandre), 224, 225, 271.
— (Anne), seigneur de la Ferté-sous-Perrière, 421,
458, 460, 495.
Houdedot (Jean-Baptiste), 215.
Le renfoncement de 1 cadratin sur la justification (composition en sommaire) est certes plus normal.
29. Dans ces différents cas, le tiret occupe, on le voit, plusieurs places.
- ↑ Voir, plus haut p. 696.