Page:Brossard - Correcteur typographe, 1934.djvu/72

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


04. Le Trismegiste ou Canon aproché ;
05. Les deux points de Gros Romain ;
06. Le Petit Canon ;
07. Les deux points de Cicéro ou la Palestine ;
08. Le Gros Parangon ;
09. Le Petit Parangon ;
10. Le Gros Romain ;
11. Le Saint Augustin ;
12. Le Cicéro ;
13. La Philosophie ;
14. Le Petit Romain ;
15. La Gaillarde ;
16. Le Petit Texte ;
17. La Mignone ;
18. La Nompareille ;
19. La Parisienne ou Sedanoise.

Ces noms, on le conçoit aisément, ne pouvaient, au premier coup d’œil, indiquer le rapport existant entre un corps et un autre même immédiatement voisin. Fertel lui-même ne précise pas ce rapport, car il écrit simplement[1] :

La Philosophie est proprement l’œil du Cicéro, fondue sur un corps un peu moins fort que le Cicéro. La Gaillarde est l’œil du Petit Romain, fondue sur un corps moindre que le Petit Romain ; et la Mignonne est un œil du Petit Texte, fondue sur un corps entre le Petit Texte et la Nompareille.

Aussi des divergences existaient au sujet des proportions des corps entre eux, divergences dont, toutefois, Fertel estime, ne pas devoir se préoccuper outre mesure, et il établit le tableau de proportion suivant pour les corps les plus courants[2] :

Les deux points de Gros Romain[3] 
Deux Gros Romain.
Le Petit Canon 
Deux Saint Augustin.
Les deux points de Cicero ou la Palestine 
Deux Cicero.
Le Gros Parangon 
Une Philosophie et un Petit Romain.
Le Petit Parangon 
Deux Petit Romain ou trois Nompareille.
  1. La Science pratique de l’Imprimerie, p. 3.
  2. Id., p. 2.
  3. Fertel n’indique pas de concordance pour « le gros Double Canon, le Double Canon, le Gros Canon, le Trismegiste ou Canon aproché ».