III
PETITES CAPITALES
On compose en petites capitales[1] :
84. Les titres courants des pages[2] :
On peut les composer aussi en italiques, lorsque les auteurs ou l’éditeur le demandent, ou en grandes capitales, si le format du volume l’exige.
85. Les sections et les articles des grandes divisions d’un ouvrage, placés soit en vedette, soit au début d’un alinéa.
86. Les folios des préfaces, avant-propos, introductions, avertissements.
Lorsque, exceptionnellement, ces folios sont composés en bas de casse, le dernier i du numéro du folio est remplacé par un j.
87. Les mots idem, ibidem, dito dans les notes, et total, totaux, reste, report, à reporter, balance, différence, dans les opérations d’arithmétique.
88. Le titre d’un recueil, d’un journal, lorsqu’on cite le titre d’un article, d’un chapitre ou d’un ouvrage qui se trouve dans ce recueil :
Huit mois de la vie d’un peuple, Mémoires de l’Académie royale de Belgique, t. VIII. Hayez, impr., Bruxelles, 1885.
89. Le nom de l’auteur et certaines divisions d’ouvrages dans les notes ou dans les références, lorsque les auteurs, les éditeurs ou les usages de la Maison le demandent.
90. Les mots Messieurs, Mesdames, Mesdemoiselles, Monsieur, Monseigneur, Messeigneurs, Sire, Nos très chers Frères, etc., en tête d’une