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au conducteur un « satisfecit » de travail. On ajoute, le cas échéant, suivant les usages de la Maison, le chiffre du tirage, luxe et ordinaire, l’indication du papier, le numéro de la machine, etc. (renseignements qui sont généralement donnés par le bulletin ou la « chemise » de travail) ; puis le tierceur date et signe.

Dans nombre de Maisons, le prote lui-même ou le prote des machines, ou encore un sous-prote auquel ce travail est spécialement confié, vérifie une dernière feuille de tierce au point de vue de la mise en train proprement dite, de la couleur, de la « venue » des gravures, du papier, etc. C’est alors celui-ci qui donne le bon à tirer.