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— Desormes fait une distinction entre le « blanc à enlever », pour lequel il enploie, sur la moitié de la justification environ, le signe

encore debout à leur place primitive.


et « l’interligne à enlever », pour laquelle il utilise le signe

— Th. Lefevre, Fournier, Daupeley-Gouverneur, Breton et Dumont répètent le quart de cercle à chaque extrémité du trait qui règne sur toute la justification. Cette répétition semble, d’ailleurs, superflue :

Pour aucun de ces auteurs, à l’exception de l’Agenda Lefranc, le signe n’est reporté dans la marge ; seul, Leclerc accompagne le signe placé dans le texte du trait vertical indicatif de la coquille mis dans la marge :

Didot et Tassis utilisent à chaque extrémité de la justification le quart de cercle seul, et , à l’exclusion du trait horizontal :


la correction, on le voit, est répétée dans la marge, accompagnée d’un trait et d’un signe de renvoi dont l’analogue ne figure pas dans le texte.


IV. — Remaniements du texte.


55. Alinéa à faire :

Ce signe est placé dans le texte à l’endroit voulu. Il est reporté dans la marge, accompagné d’un trait de renvoi :