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ses rangs, j’héritais tout naturellement de la situation de ma belle-mère, dans le monde, comme j’avais hérité du titre et du rang de mon grand-père dans l’État ; j’entrais dans une opposition qui prétendait au pouvoir avec chance d’y parvenir. Reste à voir quel usage j’ai fait de ces avantages, où mon mérite personnel n’entrait pour rien.

FIN DU TOME PREMIER