Page:Brizeux - Œuvres, Histoires poétiques I-II, Lemerre.djvu/32

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


À l’Avenir


 
Je cède à ta voix, Avenir !
Je veux (nouvel effort) suivre tes vastes ailes
Si je tombe frappé de blessures mortelles,
Pour mon pays heureux puissé-je te bénir ! —
Je t’ouvre mes bras, Avenir !