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Le jour, la nuit, son marteau frappe !
Toujours sur l’enclume il refrappe !
Grands clous à tête et petits clous.
Oh ! combien de fer pour deux sous !
Le jour, la nuit, son marteau frappe !
Toujours sur l’enclume il refrappe !
Rarement le cabaretier
Voit dans sa maison le cloutier.
Le jour, la nuit, son marteau frappe !
Toujours sur l’enclume il refrappe !
Mais, le dimanche, il chôme enfin,
Et chante à l’office divin.
Le jour, la nuit, son marteau frappe !
Toujours sur l’enclume il refrappe !
Que Dieu, dans son noir atelier.
Dieu bénisse cet ouvrier !
Le jour, la nuit, son marteau frappe !
Toujours sur l’enclume il refrappe !