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« Sous cette lampe pâle et par ce froid brouillard,
Quel sombre désespoir tient courbé ce vieillard
Et quel beau rêve d’or et d’azur, me disais-je,
Éloigne de ses jeux l’enfant au front de neige ?
Du vieillard, de l’enfant, lequel t’a mieux touché,
Beau Christ aux bras ouverts de la voûte penché ?
Quelle fleur en parfums plus suaves s’exhale.
Seigneur, — la fleur du soir ou la fleur matinale ? »