Page:Brizeux - Œuvres, Histoires poétiques I-II, Lemerre.djvu/102

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Pour les dames allant vers leur villa de marbre
Sans gloire et sans lauriers mon front ne brille pas ;
Mais, filles d’Albano, sous l’ombre de cet arbre
Arrêtez, arrêtez vos pas !
Les lèvres qui chantaient ma jeune paysanne
S’ouvrent encore et mon cœur en émane.