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partageaient ensemble, non sans cris disparates, dis, ce part à te ? vois-le, dis, ce part, être. Vois-le disparaître. Viens, che à part d’ai. Viens chaparder. Me voilà bien, part qu’ai ? Me voilà bien parqué. Ici, aux parts avant la nuit ; il faut partir, mais aux parts avant ; Haut, pars avant qu’il vienne. Veux-tu que chacun fasse sa part, fais tes parts auparavant.

M’ai = j’ai. = = toi. Déque = bec. Te le d’ai que = ce que je t’ai ici. Tins = tiens.

Il ne faut pas ce m’ai prendre, se méprendre. Je vais te le d’ai que ouvrir, je vais te le déque ouvrir, je te l’ai d’ai que ouvert. Je te l’ai déque ouvert. Ainsi c’est dans le bec d’un autre que l’on commença à découvrir, et ce que tu possèdes, lecteur, c’est dans ton bec que nous le découvrons, et ce qu’est le m’hérites. Quel mérite as-tu ? Je le d’ai, vois-le, je le dévoile. Est-ce là un bon ? dis ce court, est-ce là un bon discours ? C’est le, dis, ce cours ; secours ; haut, ce cours, au secours ! L’on dit ce court ; tu nous fais un long discours. Le d’ai ce, tins, le destin. C’est là d’ai ze, au bé ist, sens-ce, c’est la désobéissance. Dis c’est, re ne mens, discernement. Gare, ne mens, petit garnement. Haut ai, Haut ait ; eau ai, eau ait ; ohé ! ohè ! Tu m’as dit : ce crédit t’ai, tu m’as discrédité. Qu’est le, dis, ce tension ! Quelle distension ! C’est là ? drôle est-ce. C’est la drôlesse. Que, c’est de rehaut le ! Que c’est drôle ! Qu’est le qu’on court ? Quel concours ! C’est le qu’on dit, si on est le, c’est le conditionnel. C’est le que on joint, c’est le conjoint. C’est me, à qu’on naît, sens-ce, c’est ma connaissance. Laisse-moi, te rends qu’ist le, laisse-moi tranquille. En dents j’ai, il est en danger. Prends, garde aux dents j’ai. C’est me, à cœur où est sens-ce, c’est ma croix, sens-ce,