Page:Brisset - Le mystère de Dieu est accompli.djvu/51

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

qu’il a en son bec est un imbécile. Où donc est le sage ? Je l’ai en cheveux être ai, je l’ai enchevêtré.

Ce en dehors mire, nous allons nous mettre à dos remire, à dehors mire, à dormir, il faut s’endormir.

C’est le, en feu est re, c’est l’enfer. En feu est re m’ai, enfer m’ai, il faut l’enfermer. En feu l’ai, je suis enflé. Je l’ai, en jambe ai, je l’ai enjambé.

En tas ce ai, je l’ai entassé. C’est l’ai, sens-ce, y aie-le. C’est l’essentiel. C’est l’ai ce en ciel. C’est le, éteinds, c’est le, c’est l’étincelle. Ist le à ton bé, il a tombé. Au bé ist, sens-ces ; obéis, sens-ce. Obéissance. Haut bé, lis ce que. Obélisque. Y l’est à me, en bé aie t’ai. Il est à m’embêter, amant bête ai.

Ture (allemand Thür) = Porte. Ait = aie. Veux = prends.

Les premières loges sur les eaux avaient deux ouvertures : une en haut, la ture et en bas, la trappe.

C’est le, attrape, c’est la trappe. C’est là, que ouverture ! C’est la couvert-ture, la couverture. Viens à l’ouvert-ture, à la porte ouverte. C’est là, ferme ture, fermeture. Vois là, clos ture, vois la clôture. Y l’est re à l’avant-ture. Il erre à l’aventure. C’est là devant ture ? C’est la devanture. Vois c’ist là, vois ture. Voici la voiture. C’est la toit-ture, la toiture. Vois à la ture qu’ist, c’est l’apporte. Voilà qui donne à réfléchir. Le ait-toi-le, l’ai toit le, l’étoile. On offrait par le toit, par la toit-ture et on y remarqua la première étoile. Par là cheminez, par la cheminée. Les diables sortaient de ces habitations par la trappe ou par la cheminée. Le feu y était inconnu. Je te vois haut, c’ist toi ? c’ist toit, sis-toi. Je te vois aussi toi. Ait t’ai, peux en dents-le, ait t’ai, pendant l’été.

A ce assis, ait t’ai. À satiété. Je te l’ai, ce ait d’ai. Je te l’ai cédé. In terre ce aide, intercède.