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voyait aux cieux et au ciel. Donc, pour l’esprit de Dieu, les cieux sont sur la terre et partout.

Le, que, che, re, ze, je = ce, ici. Que ce, le que = ce que. Le ce = ce le = cela. M’est = c’est moi ou à moi. C’est te = C’est toi ou à toi.

Vois, c’est le qu’ai. Vois, c’est le quai. C’est re, aide. C’est raide. Re me aide. Remède. Qu’est le aie-le, aide. Quel est l’aide ? Qu’elle est laide ! Il n’y a pas me aie-che, m’est che, il n’y a pas mèche.

De quoi veut-il ce m’est l’ai, se mêler ? En c’est te, afferre. En cette affaire. C’est le, à re c’est te : C’est la recette. A le aie-ze. À l’aise. Viens à le, aie-re = Viens à l’air. Le qu’est le veux-tu ? Lequel veux-tu ? Tiens-le, c’est le = Tiens le sel.

Tiens là, c’est le. Tiens la selle. C’est te, en port aie-le, c’est temporel. Qu’est le descends-ce. Quelle décence ! Hein, descends-ce. Indécence. C’est le, sais, que ce ? C’est le sexe. Qu’est-le, sais que ce ai je ? Quel sexe ai-je ? Vois c’ist, là que c’est ? — A que c’est ? — Voici l’accès, l’axe est, axe est, axe aie. L’accès était dans l’axe.

D’ai = t’ai. Eille = regarde, vois. M’est me = m’est a moi ou : c’est à moi.

Le d’ai ce aie, le décès. Le d’ai che aie, ne mens. Le déchaînement. D’ai ce aie-le. Descelle.

Y l’est, d’ai cédé, il est décédé. C’est là t’as che, c’est la tâche ; c’est là, tâche. C’est là t’as ce, c’est la tasse ; c’est là, tasse. C’est le d’ai, compte. C’est le décompte. Je l’ai re, à commode ai, je l’ai raccommodé. C’est le, re à court c’ist, c’est le raccourci. Je l’ai, re à long j’ai, je l’ai rallongé. C’est un : rends-ce, on ne ment, c’est un rançonnement. Je t’ai, re à trappe ai. Je t’ai rattrapé.

Je t’ai jeté cela, jeté je t’ai cela. Qu’est le re