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§ III. — La critique de Hegel. — Les sources. — Ressemblance et divergence. — Opposition de leur notion du devenir. Objections de Schelling contre la logique. — Le moteur du devenir. — La préface de la Phénoménologie de l’Esprit, critique de l’intuitionnisme de Schelling. — Intuition et concept. — L’entendement. — Caractère purement logique de la philosophie hégélienne 
 276-282
§ IV. — La philosophie négative et la philosophie positive. — Condamnation définitive de l’idéalisme. — Contre l’empirisme. — Nécessité d’une philosophie rationnelle préalable. — L’existence. — Les notions rationnelles. — Critique des notions communes. — Ses principes. — Théorie des possibles. — Théorie des puissances. — La nature. — Schelling et Schopenhauer. — L’histoire. — La connaissance naturelle. — Le Droit. — L’État et ses limites. — Mysticisme, art et science contemplative. — Le fait primitif de l’existence. — La fm de Schelling 
 282-294
CONCLUSION.
Le progrès dans la philosophie de Schelling. — Les influences extérieures. — Caractère exclusivement spéculatif de sa pensée. — L’action serve. — L’irrationalisme de Schelling. — Le volontarisme : Schelling et Schopenhauer. — Le contingentisme. — L’historisme. — Combien l’irrationalisme est peu profond. — Pourquoi il n’est pas idéaliste. — L’intuitionnisme, point de vue persistant. — Signification historique du système : il n’a pu donner naissance à l’idéalisme hégélien ni au volontarisme pessimiste. — Rapport à l’empirisme. — Le système est un positivisme intuitionniste 
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