Page:Boylesve - Les Bains de Bade, 1921.djvu/175

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

LA CONCLUSION
DE MON AVENTURE


Je recevais de Véronique de grandes satisfactions, et elle continuait de faire des mensonges considérables. J’avais oublié dans le sein de cette aimable fille la rigueur du cachot, voire la chance d’être brûlé vif, que je courus, ainsi que je l’ai su plus tard, jusqu’à m’en être approché de deux doigts. L’on vint un beau matin nous ouvrir la