Page:Boylesve - Lecon d amour dans un parc.djvu/191

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

château et formaient logis particulier. On les prépara donc de façon que Jacquette et sa gouvernante y pussent demeurer à l’abri du va-et-vient, des bruits et des détestables mœurs de la maison.

En un clin d’œil toutes les difficultés contre lesquelles essayait de lutter mademoiselle de Quinconas se trouvaient ainsi résolues, ou du moins paraissaient bien l’être, et l’excellente fille se demandait s’il n’était pas préférable, en toute occasion, au lieu de se mettre martel en tête, de s’abandonner aux soins excellents de la Providence.