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Chevauche, chevauche, en te balançant. |
LE DIEU TEMPS.
Va, bonhomme, au long de Meuse, chante nos filles et leurs charmes et leur gloire.
Il le prend par la main et le conduit vers la coulisse tandis que l’orchestre reprend :
Chevauche, chevauche en te balançant
En sortant le Chanteur de complaintes continue doucement :
Ton cheval, mon fils, c’est ta mère Blanche.
Chevauche, chevauche, écuyer charmant…
- ↑ Adaptation de la berceuse suédoise : Rida Ranka. Voir Félix Rousseau, Guetteur wallon, 2e année, n° 1.