Page:Boutmy, Jouin - Protocols des Sages de Sion - Revue int. soc. secretes, 1920.djvu/93

Cette page n’a pas encore été corrigée

ne pouvaient pas imaginer au moment où nos Sages avaient composé, avec un millier d’années d’avance, un plan d’action. Le nombre restreint de victimes que nous avons eu, malgré tout, à sacrifier parmi les nôtres, a sauvé notre race de la destruction.

10 La mort est une fin inévitable pour chacun de nous ; mieux vaut la hâter pour ceux qui entravent notre œuvre que pour nos frères, qui en sont les artisans.

Mais revenons aux Maçons. Déjà à notre époque nous les mettons à mort pour désobéissance et de telle façon que la fraternité seule peut se douter de l’exécution, peut-être encore les victimes elles-mêmes... Aux yeux du public, tous meurent d’une mort tout à fait naturelle et meurent juste à point. La fraternité n’ose pas protester, car nous avons ainsi extirpé des milieux maçonniques la racine même de toute velléité de protester contre nos ordres.

Tout en prêchant aux goyim le libéralisme, nous maintenons notre peuple dans une obéissance rigoureuse, car là où il y a obéissance, il y a l’ordre, et là où il y a l’ordre, il y a la paix etle bien-être.


Seizième séance


01 Quand viendra pour nous le moment de gouverner ouvertement, de montrer les bienfaits de notre régime, nous modifierons tous les codes existants. Nos lois seront brèves, claires, irrévocables et n’auront pas besoin d’être interprétées, étant donné que chacun les connaîtra à fond. Leur principale caractéristique sera l’obligation de l’obéissance aux autorités dans l’ordre hiérarchique. Les abus dispa-